Les voyages de Charcot-Spannel
2023-2024
Résidence à Cherbourg-en-Cotentin
35 Photographies / Smartogrammes
18 Avril 2023, je retrouve Mickaël devant l’école de La Polle. La D900 attrapée, 40 minutes de voiture suffisent à effectuer le trajet vers Denneville qu’il répète chaque matin, chaque soir. On se sépare devant l’église du village, il ne me reste plus qu’à rentrer, à pied, 65 km en vue. Un coup d’oeil sur la carte, il me faut atteindre Barneville-Carteret avant la nuit, demain longer la mer jusqu’à Les Pieux, et le jour d’après, couper par le chemin creux jusqu’au quartier.
14 mars 2024, je monte avec Léandre, dans le bus N°4. Destination La Glacerie. A l’arrivée, je suis dans le bon sens, je dévale la pente, une paire d’heures suffisent au retour cette fois ci.
Entre les deux, tour à tour Myriam, Florent, Harry, Christiane, Ilyas, Elias, Michel, Claire, Maxime, Romain, Sylvie, Alexia, Vanessa, Sophie, François-Xavier, Julien m’ont embarqué pour un voyage de 21 jours et autant de parcours à réinventer à partir de leur trajets quotidiens. Ils m’ont offert un morceau du Cotentin à arpenter, un morceau de leur vie en partage. Chaque chemin est devenu la trace d’un nouveau lien.
Point de départ et d’arrivée de mes explorations, le quartier Charcot-Spanel ouvre à une géographie intime. La mémoire des habitants se mêle aux paysages parcourus qui viennent, par la magie de l’argentique, s’immiscer entre ceux de la rue Pierre de Coubertin et du chemin des Aiguillons.
14 mars 2024, je monte avec Léandre, dans le bus N°4. Destination La Glacerie. A l’arrivée, je suis dans le bon sens, je dévale la pente, une paire d’heures suffisent au retour cette fois ci.
Entre les deux, tour à tour Myriam, Florent, Harry, Christiane, Ilyas, Elias, Michel, Claire, Maxime, Romain, Sylvie, Alexia, Vanessa, Sophie, François-Xavier, Julien m’ont embarqué pour un voyage de 21 jours et autant de parcours à réinventer à partir de leur trajets quotidiens. Ils m’ont offert un morceau du Cotentin à arpenter, un morceau de leur vie en partage. Chaque chemin est devenu la trace d’un nouveau lien.
Point de départ et d’arrivée de mes explorations, le quartier Charcot-Spanel ouvre à une géographie intime. La mémoire des habitants se mêle aux paysages parcourus qui viennent, par la magie de l’argentique, s’immiscer entre ceux de la rue Pierre de Coubertin et du chemin des Aiguillons.
